Chufy est un artiste autodidacte qui a commencé à peindre suite à son apprentissage
du graphisme. Durant son parcours, il se fascine très vite par l’architecture et les techniques
de créations de celle-ci que sont la perspective et la mise en volume modulable.
Il utilisera très vite ce processus de perspective machinal basé sur un modèle mathématique
pour créer ses propres œuvres.
Il découvre par la suite et se passionne pour les architectes de l’art que sont El Lissitzky, Vasarely
ou encore Escher, utilisant les mathématiques et certaines règles absolues dans leurs démarches créatives.
Depuis, il développe son propre langage artistique. Sensible à l’esthétique et à la pureté des modèles mathématiques et physiques, il développe un processus de création – perspective à trois points –
qu’il adaptera pour la création de toiles grands formats lui permettant ainsi d’avoir un contrôle total
sur le résultat de son œuvre, en laissant peu de place à l’aléatoire.
De la construction de ses compositions, il s’amuse à truquer la véritable dimension spatiales
de ses créations.
Utilisant ces trois dimensions, il dessine au gré des lignes de fuites le guidant vers une esquisse à la fois dicté où les possibilités en sont infinies.
Chaque peinture se construit au fur et à mesure, comme une architecture qui se dessine où les éléments s’imbriquent à d’autres en prenant compte des espaces existants créant ainsi chemins,
passages et ouvertures.
Son processus et sa démarche de création en deviens donc aussi importante que le résultat final de l’œuvre.
Il cherche à troubler la perception du spectateur en inventant sa propre réalité, il décrit des structures,
se les approprient et les transforment. Il invite les gens à se perdre pour trouver et à chercher pour découvrir.
De part ces différents voyages, il témoigne dans sa démarche la représentation d’architecture des villes à la fois ordonnées, mais si compliquées à comprendre où parfois il est bon de se perdre, de se frayer son propre chemin pour laisser place à la découverte et à l’inattendue.
En résulte la représentation d’une réflexion déformée, jouant sur la manière don le cerveau analyse une image et montre que ce qui s’y passe n’est rien d’autre qu’une interprétation individuelle.
Créant l’appel du vide tout en suggérant des perspectives infinies, c’est questionner indirectement
l’Humain sur ses paradoxes, son rapport ambivalent au temps et à la matérialité.
︎ : lien vers l’évenement
du graphisme. Durant son parcours, il se fascine très vite par l’architecture et les techniques
de créations de celle-ci que sont la perspective et la mise en volume modulable.
Il utilisera très vite ce processus de perspective machinal basé sur un modèle mathématique
pour créer ses propres œuvres.
Il découvre par la suite et se passionne pour les architectes de l’art que sont El Lissitzky, Vasarely
ou encore Escher, utilisant les mathématiques et certaines règles absolues dans leurs démarches créatives.
Depuis, il développe son propre langage artistique. Sensible à l’esthétique et à la pureté des modèles mathématiques et physiques, il développe un processus de création – perspective à trois points –
qu’il adaptera pour la création de toiles grands formats lui permettant ainsi d’avoir un contrôle total
sur le résultat de son œuvre, en laissant peu de place à l’aléatoire.
De la construction de ses compositions, il s’amuse à truquer la véritable dimension spatiales
de ses créations.
Utilisant ces trois dimensions, il dessine au gré des lignes de fuites le guidant vers une esquisse à la fois dicté où les possibilités en sont infinies.
Chaque peinture se construit au fur et à mesure, comme une architecture qui se dessine où les éléments s’imbriquent à d’autres en prenant compte des espaces existants créant ainsi chemins,
passages et ouvertures.
Son processus et sa démarche de création en deviens donc aussi importante que le résultat final de l’œuvre.
Il cherche à troubler la perception du spectateur en inventant sa propre réalité, il décrit des structures,
se les approprient et les transforment. Il invite les gens à se perdre pour trouver et à chercher pour découvrir.
De part ces différents voyages, il témoigne dans sa démarche la représentation d’architecture des villes à la fois ordonnées, mais si compliquées à comprendre où parfois il est bon de se perdre, de se frayer son propre chemin pour laisser place à la découverte et à l’inattendue.
En résulte la représentation d’une réflexion déformée, jouant sur la manière don le cerveau analyse une image et montre que ce qui s’y passe n’est rien d’autre qu’une interprétation individuelle.
Créant l’appel du vide tout en suggérant des perspectives infinies, c’est questionner indirectement
l’Humain sur ses paradoxes, son rapport ambivalent au temps et à la matérialité.